Le sujet étant une priorité vitale actuellement en ce mois d’octobre 2020, une seconde vague est en train de faire son apparition et les villes, cantons et états sont tous à l’affut des statistiques qui explosent. Comment protéger la population vis-à-vis de ce fléau qui n’est pas maitrisé ? Quelles sont les actions à mener afin que la Suisse soit en sécurité face à cette menace dans un futur proche ? Quels sont les risques que la prostitution soit impactée par le Covid-19 ? Que risquent les clients suisses et frontaliers de France voisine à venir rencontrer des escort girls de luxe à Genève et Lausanne pendant le Covid ?


Encore bon nombre de questions sont à débattre ce qui crée un flou artistiques et une fatigue de plus en plus important qui devient lourde à gérer dans le temps pour la plèbe.


Histoire du Coronavirus au sein de la  prostitution suisse :

Lors de la connaissance du virus, le fameux « coronavirus » en début d’année 2020, les autorités n’ont pas réagi directement et ont laissé faire afin de jauger de l’ampleur du problème.

A la mi-mars, la confédération helvétique à dut forcer la population Suisse à rentrer dans une forme de confinement en arrêtant net des milliers de travailleurs pour des raisons sanitaires évidentes.

Certains domaines d’activité ont rouvert fin avril et quant à la prostitution suisse, c’est le 6 juin 2020 que la réouverture s’est produite.

Pendant près de 3 mois, tenanciers de salon de massage érotiques, gérantes d’instituts de massage et escort girls ont pris leur mal en patience afin de ne pas tomber dans le délit. Des amendes pouvant aller jusqu’à 20 000.-CHF et de la prison ferme ont même été appliqué à certaines personnes ayant bravé les interdits d’exercer. La prostitution de rue a explosé au détriment de la sécurité que les femmes pratiquantes des services érotiques payants pouvaient avoir en appartement privé ou en salon de massage.

La précarité a été terrible durant ces mois de non exploitation pour la branche économique de la prostitution toute entière. Que ça soit les vendeurs de lingerie,  les escort girls en appartement privé, les publicitaires papier ou encore les annuaires en ligne de petites annonce érotique suisse, personne n’a été épargné durant ce confinement.

Demi-Mondaine et l’Aspasie, deux associations défendant les droits de la prostitution à Genève ont créé une charte au même titre que GastroSuisse l’a fait pour le domaine de la restauration. Le travail des prostituées étant une affaire de dualité, mettant en scène 2 personnes dans une chambre à pu ainsi être rouvert avec des règles précises de distanciations et des pratiques à limiter voir bannir. Les contraintes, c’est une chose, mais pouvoir retravailler était impératif pour la plupart des femmes qui vivent ici à l’année et qui n’avaient pas le droit aux aides.



Les mesures sanitaires dans la prostitution contre le Covid-19

Après des centaines de discussions entre les personnes du domaine de la prostitution et la collaboration des associations, une charte éthique a vu le jour depuis juin 2020. Les massages érotiques et le sexe ne diffèrent pas tant des autres activités mais quelques mesures particulières ont été proposé et soumises aux bordels et aux instituts thérapeutiques à Genève, Lausanne, Fribourg, Neuchâtel, Jura et Sion.

La première proposition a été écrite dans le sens de limité les rencontres à plusieurs. Seul un binôme pouvait aller en chambre pour prendre du plaisir. Il était interdit d’avoir plus de 2 personnes (client compris) dans une même pièce. Au niveau du nombre de fille dans un établissement, une fille au maximum sera affectée à une chambre. Cela va limiter le nombre d’intervenant et donc le brassage humain au sein d’un club érotique.

Sans oublier le port du masque pendant toute la prestation érotique pour la travailleuse du sexe et/ou le client. Les masques ont été fournis par les établissements et à la travailleuse du sexe ainsi que du gel hydro alcoolique pour la désinfection des mains à l’entrée et à la sortie du client.

Le paiement sans numéraire est recommandé mais non obligatoire par les salons de massage érotiques ainsi que les call girls indépendantes. Twint a fait un travail incroyable depuis le Covid-19 et s’est fait connaitre de manière exponentielle. Ce moyen de payer à distance fait fureur dès lors en Suisse et risque de conquérir le monde (humour).

Bien évidemment, vous l’aurez deviné, certaines positions du Kâma-Sûtra pouvant être à risque ont été prohibé du jargon de la prostitution. Les rapports impliquant un rapprochement des voies respiratoires sont devenus interdites comme notamment la pratique populaire de racine française, le French Kiss !

La douche individuelle est devenue obligatoire pour le client ainsi que pour l’escort girl suisse avant et après une prestation tarifé afin d’éliminer au maximum les possibilités de contamination suite aux échanges de caresses, bisous sur le corps et autres coquineries possibles.


Comment éviter le Covid-19 avec les escort girls suisses?

Nous connaissons en octobre 2020 les modes de transmissions courants des virus respiratoires. Le coronavirus en faisant partie, il est évident que certaines pratiques érotiques risquent de propager le virus. Comme vous pouvez l’imaginez, les pays du monde entier n’ont pu que contenir les gens à rester quelques semaines chez eux afin d’éviter au maximum les contacts humains mais il n’était pas pensable d’imaginer que les gens coincer chez eux s’abstiennent de sexe en période de confinement.

Vu que le sujet fait parler mais qu’aucune recherche sérieuse n’a été faite sur ce point, on peut lire un peu tout et n’importe quoi sur internet. Le Coronavirus peut-il être sexuellement transmissible ? Personne n’ose vraiment prendre parti…

Ce que l’on sait : d’après Christian Lindmeier, porte-parole de l’OMS, les coronavirus ne se transmettent pas par voie sexuelle. Vu que la transmission se passe par les gouttelettes expulsées lors d’expiration, d’éternuement ou en toussant, suivant le contexte de l’activité sexuelle, il est facile et fort probable d’être contaminé.

L’isolement et la masturbation deviennent alors les seules sources de plaisir au grand désarroi des escort girl à Genève ? Pas totalement. Des spécialistes recommande pour commencer de bien vous laver les mains pendant au moins 30 secondes avec du savon et de l’eau bien chaude avant d’agir et de rentrer en contact avec un autre corps humain. Mettez bien évidemment un condom avec une escort girls à Lausanne en toute circonstance, que ça soit pour la fellation ou pour une pénétration. Vous réduirez ainsi les risques de contagion.

Sans paraître fou, vous pourriez aussi tenter une initiation érotique d’un nouveau genre. Car finalement, pourquoi se restreindre à la levrette en ayant un préservatif ? Certes, cette position érotique diminue les risques de contamination. Mais au lieu de vous embrasser à grand coup de langue bien baveuses et de pratiquer le sexe dans tous les sens avec des petites coquines tarifées vous ne chercheriez pas à pratiquer des massages érotiques différents, des masturbations partagées et complices ainsi que des jeux érotiques avec des sextoys ?

La planète est en train de vivre un tournant dans son développement et dans sa croissance. Il est peut-être temps de suivre le mouvement et d’écouter mère nature en changeant un tant soit peu nos façons de voir les relations sexuelles.

En 7 mois, la confédération et l’OFSP ont petit à petit apprivoisé le Coronavirus. Continuer de vous tenir au courant de l’actualité et conservez les bons réflexes en reproduisant sans cesse les gestes barrières afin de tous contribuer à prévenir la propagation du Covid-19.