La prostitution fait parler par le fait simple : c’est la profession la plus ancienne qui existe. A l’époque, la femme donnait du plaisir à l’homme pour des raisons autres que pour de l’argent. C’était à la base en échange de nourriture car la femme était plus chétif, moins robuste pour aller chasser et se défendre en pleine nature. La nourriture constituait à l’époque la survit, ces femmes là l’avaient vite compris qu’en échangent de câlins sensuels elles pouvaient avoir quelque chose en retour, des choses qu’elles ne pouvaient pas avoir ou qui auraient à risque. Il y avait aussi dans ces époques là le coté de la sécurité, l’homme qu’elle pouvait séduire grâce au sexe pouvait les aider à se défendre contre d’autre homme ou divers évènement de la vie.

De nos jours, en cette merveilleuse fin d’année 2020, une année particulière car la pandémie du Covid-19 a fait tourner la planète entière au ralenti plusieurs mois, la prostitution continue toujours sous différentes formes. Pendant le coronavirus, en suisse, la prostitution à changer et les escort girls à Genève se sont transformer en standardistes érotiques, racontant des histoires X toutes la journée aux hommes souhaitant varier les plaisirs et exciter leur imagination. Le sexe fait déplacer des foules, des milliers de femmes et d’hommes en Suisse se rencontrent pour baiser, pour échanger de l’amour, de l’argent et d’autres bienfaits souvent incalculables. C’est un sujet qui fait couler beaucoup d’encre et c’est un sujet qui revient souvent en soirée. Cet article exclusif va tenter de faire le point sur cette question, pourquoi on parle souvent de prostitution, de petites coquines, de putes entre potes ?


La prostitution est un sujet de sexe croustillant

Le sexe n’est plus un tabou dans la grande majorité des pays développé en 2020. En Suisse, la prostitution est autorisée depuis 1992 et est contrôlée pour une police des mœurs cantonale. Même si c’est légal, sous le regard des autorités compétentes, la prostitution et les petites putes font parler. C’est un sujet qui revient souvent dans les journaux et la presse local. Le GHI ou encore la Tribune de Genève sortent régulièrement des articles sur les escort girls à Genève ou encore les call girls à Lausanne. Ce sont des récits qui sont lus, qui intéresse la grande majeure partie des hommes car c’est un sujet facile, le sexe concerne 100% de la population et forcément, ca peut devenir vite un sujet de dérive durant la pause-café ou encore pendant le lunch de midi qui va finir en rire, en débats drôles, des histoires de cul du passé vont être mises sur la table et décortiquées. Le cul et la prostitution en Suisse mais aussi en France est ancrée dans nos mœurs, dans nos cultures de latino. Ce sujet est vitale, il y a comme un besoin que de parler de cul chaque jour, d’échanger avec son partenaire de travail autour de ce sujet qui unis et déchirent les relations humaines, c’est un sujet qui excitent la plupart des terriens et les suisses particulièrement qui sont connus pour leur mollesse, les fesses font réagir tout le monde.

C’est d’ailleurs pour cette raison que le café-pipe, concept sorti en 2016 par Bradley Charvet de Facegirl, a fait autant de bruit. L’intelligente union du sexe et du café ont fait de ce concept le buzz de l’année. Tout le monde jusqu’à aujourd’hui parlent ou ont parlé, ont entendu de près comme de loin cette histoire drôle et loufoque de ce fameux café à pipe qui aurai du ouvrir en face du Starbucks au rondo de Rives. Oui, la prostitution suisse est un sujet mordant !




Les escort girls font fantasmer les hommes

Parler de la prostitution est croustillant, excitant, bandant etc. il y a autant de mot à rajouter autour de l’effet que produit le sujet du sexe que d’hommes sur la Terre. Les humains, les terriens aiment le cul et les prostituées particulièrement car les escort girls à Genève font rêver et fantasmer 90% des hommes. Pourquoi me demanderiez-vous, pourquoi les call girls de luxe de Lausanne font fantasmer les suisses ? La réponse est simple : l’homme est un chasseur de nature, nous avons brièvement abordé ce sujet dans l’introduction de cet article. La plupart des hommes suisses âgé de 25 ans et plus sont en couples, mariés, ont parfois des enfants et une vie bien rangée avec un espoir de carrière.

Le bon suisse, marié avec 2 enfants en bas âge ne prendra aucun risque avec une amourette telle qu’une voisine, une amie du couple ou encore une collègue de travail. Le regard de ce type d’homme va s’orienter vers une proie qui ne leur causera aucun souci, qui ne leur écrira pas le soir pour avoir des informations sur le déroulement de leur journée, qui ne voudra pas s’immiscer dans leur vie intime. Le fantasme parfois sans le chercher, donc de manière inconsciente, se dirige vers les prostituées qui garantissent un plaisir passager contre rémunération, cet argent achète à quelques parts la tranquillité. L’envie de partager un moment de sexe et de varier les services érotiques avec une nouvelle femme, un nouveau corps, un nouveau vagin sans prendre le moindre risque excite et fait fantasmer la majorité des hommes sur cette terre.



Les prostituées à Genève aiment le gang bang

La prostitution en Suisse ainsi que partout dans monde fait parler, les hommes suisses vont voir les masseuses érotiques à Genève pour se détendre, pour se relaxer et éviter le burnout qui est très présent dans le monde bancaire suisse. Mais ce qui amène aussi à échanger avec des amis en soirée autour des putes, ce sont les pratiques coquines qu’elles exercent, comme notamment la fellation, la sodomie que beaucoup de femme ne pratiquent pas avec leur mari et les gangs bangs.

Cette pratique sexuelle, sensuelle et torride se lie avec l’exhibitionniste et l’échangisme. A nouveau, c’est une pratique que bon nombre d’homme ne penseront jamais à réaliser avec la mère de leurs enfants. L’échangisme est un sujet encore tabou en Suisse, malgré que l »on soit en 2020, les couples mariée ou qui ont des projets d’avenir n’abordent pas le sujet malgré des envies parois des deux corps. Il ne reste alors plus qu »’une solution pour assouvir ces envies animales de sexe à plusieurs : échanger avec des inconnus ou entre potes en allant voir une escort girl en Suisse. Pourquoi prendre des risques et déclencher une guerre familiale, un divorce couteux et un regard haineux des voisins ? Pas vu pas pris, les gangs bangs vont bon train en Suisse, d’après les statistiques auprès des travailleuses du sexe, la pratique du gang bang en terre helvétique à exploser ces 3 dernières années de 120%. Le besoin de faire autre chose que du sexe intéresse les psychologues et thérapeutes dédiés à l’univers érotique, les sexologues. D’après des entretiens de santé, les hommes pratiquant ce genre de relation sexuel aime également l’échange pendant l’acte, le social, avoir une discussion avec d’autres hommes et aussi l’emprise physique numéraire masculin autour d’une femme, la soumission est indirectement le sujet complémentaire de cette excitation qui pousse les hommes à faire toujours et encore des expériences sexuelles malgré un âge avançant, et heureusement car rappelons le, le sexe, c’est la vie.