Sujet important au sein de la gente féminine en 2020, la poitrine est le symbole pour bon nombre d’entre elles de la féminité. Cette vue de l’esprit s’immisce rapidement dans la tête des belles demoiselles très jeunes, généralement pendant la puberté, lors de la croissance mammaire. La vue de leur poitrine se développant ne va plus les quitter jusqu’à ce que cela soit accepté.

La taille est un sujet dont beaucoup de femme parle. Au sein de la prostitution, se refaire les seins est chose courante pour ne pas dire impératif. Essayons de voir dans cet article les raisons psychologique et physique qui orientent les femmes sur ce sujet croustillant au même titre que les garçons parlent et regardent leur sexe tout au long de leur vie.

 

La poitrine : un sujet depuis l’adolescence.

« Ils sont trop gros » ou encore «  ils sont trop petits » échangent à l’heure où je vous écris des milliers d’adolescentes. Oui, elles font référence à la taille de leur poitrine. Depuis toute jeune, cela peut commencer vers 10 ans, c’est un sujet qui revient dans les têtes de petites filles car c’est devenu à la mode. Mais de quelle mode parle-t-on ?


Ce débat qui peut paraitre subjectif ne l’ai pas en fin de compte. Toutes les femmes aspirent à une poitrine de rêve avoisinant les 90 C bien ferme avant de mettre des tenues affriolantes, un maillot de bains sexy mais pas trop vulgaire ainsi que des robes tendances et coquines. C’est vu comme une amélioration de la nature et depuis tout jeune, c’est un sujet mûrement réfléchie. C’est déjà jeune que le bien-être du corps vient à être débattu entres les femmes. La thérapie pour le corps à déjà un prix ; il faut compter entre 3000 et 550.-CHF pour une intervention chirurgicale en Suisse afin d’avoir une poitrine différente. Les magazines marquent les esprits des plus jeunes en leur faisant idéaliser l’image hyper féminine de poitrine de top model ce qui explique qu’environ 7000 femmes passe à l’acte chaque année en Suisse et 55 000 penses le faire dans les 3 prochaines années. Une manne financière importante pour les chirurgiens esthétique des cantons helvétiques.



 

Une nouvelle poitrine pour se sentir belle.

De manière générale, quand une femme veut refaire sa poitrine, c’est d’ordre psychique. Ce qu’il faut savoir c’est qu’elles ont tout simplement du mal à s’accepter telle que la nature les a faite, elle n’accepte pas leur corps, elles se sentent mal dans leur peau, mal dans leur sexe, alors la solution trouvé par les scientifiques a été comme un second souffle quand la chirurgie mammaire a vu le jour. Grace à cette intervention, les femmes du monde entier peuvent avoir un physique parfait comme elle le voudra au vu des magazines ainsi qu’une meilleure estime de soi, une confiance gonflée à bloc et une libido re-boosté, tout cela avec une petite opération.

Malgré qu’une femme fasse accessoirement pour un homme, un amant ou un coquin de passage, il est utile de préciser qu’une femme faisant des implants mammaires le fait avant tout pour elle, pour se sentir femme, pour se sentir belle. L’idée est d’éviter des regards malsains, ou dénigrants, réducteurs et embarrassants. Déjà qu’elle ne s’aimait pas dans l’état, une femme ne souhaitant pas de complication supplémentaire se dirigera vers cette solution afin de se sentir d’avantage aimé, regardé ce qui la boostera, lui fera se sentir désirée et lui provoquerons des sentiments d’amours.

 



Quel est le meilleur moment pour se faire mettre des implants mammaires ?

Hormis le fait d’avoir une belle poitrine pour se sentir femme, suivant la vie menée, d’autres occasions poussent les dames de tous horizons et de tout âge à la chirurgie. Avec l’âge, les seins tombent et peuvent devenir gênants ou encore après quelques années d’allaitement par exemple, la chirurgie mammaire est devenue courante en 2020 en Suisse. Les belles princesses peuvent aussi avoir recours aux implants suite à une réduction mammaires, une correction d’asymétrie ou encore à une reconstruction suite à un cancer.

Vous l’aurez compris, avoir une nouvelle pair de sein n’a pas de timing parfait et identique. Chaque femme fera en conséquence de sa vie passée et futur. Les prothèses vendues en Suisse sont conformes à la réglementation et vous aurez le choix entre des implants de gel de silicone, des implants au sérum physiologique ou encore en mousse polyuréthane. Dans tous les cas de figure, votre chirurgien vous préviendra qu’il est important de changer les implants au bout de 10 ans et des échographies seront à faire chaque année afin de veiller au bon déroulement de l’intégration mammaire.


 

Pourquoi les prostituées en Suisse veulent des faux seins ?

Il est avéré après plusieurs études que les hommes suisses mais pas uniquement aiment les poitrines bien charnues. Cela étant, ils ne sont pas forcément sujets à encourager madame à faire cette intervention chirurgicale. Autrement, quel serai la valeur de l’amour ? Imaginez la scène de ménage, monsieur peut y penser mais jamais le proposer, gentleman oblige…

Quitte à perdre un peu de sensibilité, au sein de la prostitution en Suisse, une prostituée sur deux possède des implants mammaires. C’est devenu un « must have » pour les escort girls de luxe d’avoir une poitrine de compétition. Grâce aux obus fraichement tendus, les belles peuvent afficher des tenues bandantes en toute circonstance ce qui provoque l’excitation des potentiels clients.

Les seins font l’objet chez l’homme d’un raccourci sexuel efficace. Les putes de Genève le savent et n’hésitent pas à mettre en avant leur importante plastique sur les sites internet publicitaires en ligne ainsi que les journaux leur permettant de faire leur réclame. L’homme replonge en enfance, l’envie de téter les seins de la belle devient une obsession. Pour celles qui auront encore une sensibilité aigu, les léchouilles insistantes des messieurs les exciteront également ce qui est en fin de compte gagnant-gagnant.

C’est aussi la mise en avant de l’acte érotique que l’on appelle la « branlette espagnole ». Le principe est simple, l’homme, queue bien dure se retrouve à la glisser entre les deux seins de la call girl de Lausanne qui peut lui prodiguer une branlette en les serrant l’un contre l’autre. Suivant la taille de la bite, la prostituée de Suisse peut en profiter pour pratiquer une petite fellation du bout des lèvres.

 



Conclusion : la chirurgie esthétique répare. Une intervention réussie peut améliorer la confiance en soi mais, pour que cette amélioration soit durable, il ne faut pas uniquement modifier sa poitrine, il est nécessaire de se poser les bonnes questions et répondre à celles-ci le plus honnêtement possible.